Je me souviens de Moi,la petite loi...la petite sotte,
Celle qui tenait tout dans ses petites menottes
Par dépit,par mépris ou par inconscience,toutes les réponses
Que l'on se pose
En secret,et en silence,
Mais sans m'en rendre compte,presque à m'y méprendre,
Je pensais qu'éternel serait,
Ma beauté pour les faire tous plier
Tu me ressemble tellement,fils de moi,fils insouciant,
Mais je ne peux te blâmer sans,
Condamner ma vie d'antan
Oui,je me suis perdue comme toi
Dans les bras d'hommes,la femme je respirais comme toi
Comme une image qui me manquait
Celle du père absent,j'ai compris qu'il me hantait
Et pour cela,j'ai tout fait...
J'ai cherché la bagarre,j'ai tangué,j'les ai cherché
Peut-être pour me venger
Comme toi,de ceux qui dans le passé
M'avais brûlé dans leur volcan cendrés
La vérité,c'est que toi et moi avons la manière de ce qu'il faut taire...
Pour mettre les couleurs à notre jeunesse et la rendre moins amère
Et que nous ayons la même conviction,
Que d'avoir la pudeur d'anéantir les paroles pour nous"de ces petits cons"
Ceux qui ne nous connaissent pas
Ceux qui ne te réécrirons pas
On a prit des routes différentes
Par racines,ou par différences,
Le message qui nous unis reste le même
Avec pardons ou sans problème
Unis dans cet amour qui nous met nu,
Imparfait en nos corps d'amour éperdu
Mais,qui nous mène là haut,qui éclate nos promesses,nos toujours
Pour acquérir souvent la force de nos prières d'AMOUR?
Combat pour tracer ton chemin
Crée ton destin
Convint tout les tiens
A tenir dans ta main,leur destin...
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