mon musee à moi...: A un frère...grand par la taille!

Je n'ai trouvé que cette couleur car c'est celle qui correspondait souvent à mes pensées envers toi, la haine...aujourd'hui elle n'est plus d'actualité car j'ai appris à gérer mes émotions...

Milles excuses si mon message te choque,mais c'est mon ressentis... c'est vrai, j'avais oublié que toi tu ne sais pas t'excuser!

A avoir trop idéalisé, je me suis endormie...

Il paraît que, quand j'écris, je tue les gens, car j'écris avec mes pensées, mon vécu et je n'ai besoin de piquer mes idées à ce "vieux fou d'Hugo" comme dirait "Barzotti", oui , comme tu pensais un temps, un jour où je t'ai cité cette phrase et tu n'as pas cru qu'elle sortait de mes pensées, je cite:"Ce que tu as fait aux parents quand tu es revenu, c'était comme attiser une flamme dans l'âtre d'une cheminée et la laisser mourir doucement, avec contentement". T'en rappelles tu? Sais-tu que cela s'appelle vengeance.

Pas grave, moi je la connais la vérité et je n'ai cure de ce que l'on dit...

J'ai été déçue par des gens comme toi, que j'aimais, mais la vie m'a apprise à aimer autrement.

Toi, ton bureau

avec moquette épaisse et confort insolent, tu crois sûrement que c'est ça la vraie vie.

Nous deux, on n'a jamais vécu avec l'un l'autre, mais bien l'un à côté de l'autre.

Je crois que tu n'as aucune place pour une autre personne que toi même et si l'égoïsme dégageait une lumière, tu éclairerais toute l' Amérique...

C'est vrai, nous n'avons pas les mêmes valeurs puisque nous n'avons pas le même certificat...Mais n'oublies jamais que nous avons travaillé à ta place chez nos parents pour te laisser "aller plus haut", ne l'oublies pas!

Vois-tu, moi, j'ai le choix de ne pas être dans ton carnet de rendez-vous et je me plaît en dehors, car tu ne sais même pas faire la différence entre tes connaissances et ta famille.

Enfin, je ne veux rien de toi, restes bien avec ta vie, égoïstement votre et ne viens surtout pas hanter la mienne...De toute façon, qui a tort, qui a raison, dans nos amours déchirés, lequel est blessé? Peu importe, chacun à eu le choix, et chacun en a fait ce qu'il en a voulu!

Alors monsieur, je vous salue!

CLO.