http://fr.youtube.com/watch?v=9u_eiyv4_NUhttp://fr.youtube.com/watch?v=NAfSrk-xgr4
Pourquoi après tant de temps,
Écrire cette sordide histoire,
Pour moi c'est important,
Qu'elle comble peut être votre histoire...
Ce soir,je n'ai plus de bleus au corps,
Je les ai à l'âme...pour l'éternité!
Un jour,moi la petite rêveuse,
Très jeune et follement amoureuse,
Il était beau,courageux,charmeur et féerique,
Il me disait que j'étais sa fée,son Dieu,sa magnifique,
A cette époque,si fragile,
Si perdue et donc pour lui,pas trop de prises de risque,
Peu à peu il a montré,
Sa vraie identité,
Et sans me rendre compte de rien,
Il m'a volé mon identité,
M'a empêché de travailler,
Sûr,travailler dans SA maison à de tout petits rien,
Mais un jour,pour une broutille,
Il m'a alors traitée,
D'incapable,de fille de pacotille,
Je m'en suis voulue de ne pas alors l'avoir comblée,
Lui que j'adulais,
Lui que je suivais,
Comme toi,ton g.p.s,
Avec confiance et allégresse,
Mais je m'en veux de ne pas m'être,
Rendue compte de l'obscur être...
Un jour,il m'a battue,
Parce qu'il avait sûrement bu,
Prises de corps et insultes,
Puis pardons et promesses d'incultes,
Il a recommencé,maintes et maintes fois,sans risques,
A prit le contrôle par ses violences morales et physique,
Tout a fait la différence,
Cette force de l'expérience,
De toute façon,l'être suprême ne se justifie pas,
Il est juste là pour guider tes pas...
Rentrée de l'hôpital,
Pardon et excuses banales,
Mais quelques jours passés,
La goutte de trop,le coup de trop...
En descendant de la chambre,son flingue,il a braqué,
Amoureuse mais pas inconsciente,je suis partie au trot,
Car j'avais compris alors,
Qu'il n'aurait pas hésité,
A me plomber le corps,
Parce qu'alors démasqué.
Je l'ai quitté avec regrets,
Car je l'avais aimé,
J'ai longtemps cherché à comprendre,
Ce grand con,ce fils du méandre,
Après médications et thérapies,
J'ai enfin compris que le problème c'était lui,
Me reconstruire à été l'aboutissement,
D'éternels recommencements,
Et ce qui fait me battre aujourd'hui,
c'est la confiance que j'ai acquéri,
Avec celui que je nomme à cause de LUI,
L'intérimaire,où juste mon appui,
Alors,petites filles fragiles,n'hésitez à les larguer,
Dés que vous voyez,
Qu'ils vous jugent avec prétextes
Car ils ont juste en guise de sexe,
Un radar en alerte,
Quand ils croisent des minettes,
Alors attention fillettes,attention...
P.S:Ne me parlez pas de justice,parlez moi plutôt d'équité...si ça existe,car il faut toujours prouver...quand il s'agit de prouver qu'IL vous traumatise,cet être soit disant supérieur...
N'oubliez que c'est de vos rêves qu'il a soit disant le choix,mais que dans SON ultime plaisir,et en amour,il croit vous posséder,mais c'est en réalité,la femme qui dans sa tête,à le choix de penser encore à qui elle veut,petits cons de matchos...
CLO,la morte d'un soir,mais vivante dans son âme...
Écrire cette sordide histoire,
Pour moi c'est important,
Qu'elle comble peut être votre histoire...
Ce soir,je n'ai plus de bleus au corps,
Je les ai à l'âme...pour l'éternité!
Un jour,moi la petite rêveuse,
Très jeune et follement amoureuse,
Il était beau,courageux,charmeur et féerique,
Il me disait que j'étais sa fée,son Dieu,sa magnifique,
A cette époque,si fragile,
Si perdue et donc pour lui,pas trop de prises de risque,
Peu à peu il a montré,
Sa vraie identité,
Et sans me rendre compte de rien,
Il m'a volé mon identité,
M'a empêché de travailler,
Sûr,travailler dans SA maison à de tout petits rien,
Mais un jour,pour une broutille,
Il m'a alors traitée,
D'incapable,de fille de pacotille,
Je m'en suis voulue de ne pas alors l'avoir comblée,
Lui que j'adulais,
Lui que je suivais,
Comme toi,ton g.p.s,
Avec confiance et allégresse,
Mais je m'en veux de ne pas m'être,
Rendue compte de l'obscur être...
Un jour,il m'a battue,
Parce qu'il avait sûrement bu,
Prises de corps et insultes,
Puis pardons et promesses d'incultes,
Il a recommencé,maintes et maintes fois,sans risques,
A prit le contrôle par ses violences morales et physique,
Tout a fait la différence,
Cette force de l'expérience,
De toute façon,l'être suprême ne se justifie pas,
Il est juste là pour guider tes pas...
Rentrée de l'hôpital,
Pardon et excuses banales,
Mais quelques jours passés,
La goutte de trop,le coup de trop...
En descendant de la chambre,son flingue,il a braqué,
Amoureuse mais pas inconsciente,je suis partie au trot,
Car j'avais compris alors,
Qu'il n'aurait pas hésité,
A me plomber le corps,
Parce qu'alors démasqué.
Je l'ai quitté avec regrets,
Car je l'avais aimé,
J'ai longtemps cherché à comprendre,
Ce grand con,ce fils du méandre,
Après médications et thérapies,
J'ai enfin compris que le problème c'était lui,
Me reconstruire à été l'aboutissement,
D'éternels recommencements,
Et ce qui fait me battre aujourd'hui,
c'est la confiance que j'ai acquéri,
Avec celui que je nomme à cause de LUI,
L'intérimaire,où juste mon appui,
Alors,petites filles fragiles,n'hésitez à les larguer,
Dés que vous voyez,
Qu'ils vous jugent avec prétextes
Car ils ont juste en guise de sexe,
Un radar en alerte,
Quand ils croisent des minettes,
Alors attention fillettes,attention...
P.S:Ne me parlez pas de justice,parlez moi plutôt d'équité...si ça existe,car il faut toujours prouver...quand il s'agit de prouver qu'IL vous traumatise,cet être soit disant supérieur...
N'oubliez que c'est de vos rêves qu'il a soit disant le choix,mais que dans SON ultime plaisir,et en amour,il croit vous posséder,mais c'est en réalité,la femme qui dans sa tête,à le choix de penser encore à qui elle veut,petits cons de matchos...
CLO,la morte d'un soir,mais vivante dans son âme...
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